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jeudi 22 mars 2018 à 14h

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Manifestation et grèves interprofessionnelles

Grosse journée de mobilisation nationale pour la Fonction publique, la SNCF et les cheminots, les étudiants, les parents d'élèves, les personnels d'EHPAD, les travailleurs sociaux et plus encore !

A Amiens, RDV pour le départ de la manifestation à l'EHPAD Saint-Victor (354 Boulevard Beauvillé), à 14h. Le cortège passera par le Rectorat, la Gare, l'école Faubourg de Beauvais pour terminer à la mairie.

Ci-contre l'appel unitaire de la GQT, FO, SUD, FSU. Et ensuite d'autres appels lancés par diverses organisations syndicales et professionnelles.

Page Facebook de l'événement par les parents d'élèves

Page Facebook de l'événement par les travailleurs sociaux et médico sociaux

Page Facebook de l'événement lancé par Amiens pas sans les jeunes


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22 mars : grève et manifestations dans la Fonction publique !

CFTC, CGC, CGT, FAFP, FO, FSU et Solidaires

A nouveau réunies le 21 février, les organisations CFTC, CGC, CGT, FAFP, FO, FSU et Solidaires ont fait le bilan des réunions bi latérales organisées par le Ministre. Les discussions ouvertes par le gouvernement sur le recours accru aux contractuels, les éléments de rémunération dont celui du mérite, une révision des instances de dialogue social...engagent de profondes remises en cause des missions publiques et une dégradation des conditions de travail des agent-es. C'est aussi une menace réelle contre le Statut Général des fonctionnaires et la fin possible d'une Fonction publique au service de l'intérêt général.

A l'inverse de ces orientations inquiétantes, et de celles contenues dans le programme Action publique 2022, la qualité des services publics à rendre aux usagers sur l'ensemble du territoire, la défense de l'intérêt général, nécessitent la création d'emplois qualifiés pérennes et de qualité, une plus grande reconnaissance du travail et des missions exercées par les agent-es, une amélioration significative de leurs salaires.

Pour les plus de 5 millions d'agents de la Fonction publique, après le report de PPCR et contrairement à ce qu'avait promis Emmanuel Macron lors de la campagne présidentielle, leur pouvoir d'achat continue de baisser du fait du gel de la valeur du point d'indice, du rétablissement de la journée de carence, de l'augmentation de la CSG avec une simple compensation et des retenues pour pension.

L'ouverture rapide de négociations est indispensable pour pouvoir rediscuter d'une augmentation réelle et significative des salaires de toutes et tous les agent-es de la Fonction publique, permettant une réelle reconnaissance de leur engagement professionnel quotidien qui contribue à la qualité des services publics, au développement du pays comme à la cohésion de la société.

C'est pour faire entendre ces légitimes revendications que les organisations CFTC, CGC, CGT, FAFP, FO, FSU et Solidaires appellent les agent-es à se mobiliser massivement le 22 mars.

Pour :

  • Une négociation salariale immédiate pour le dégel de la valeur du point d'indice, le rattrapage des pertes subies et l'augmentation du pouvoir d'achat ;
  • L'arrêt des suppressions d'emplois et les créations statutaires dans les nombreux services qui en ont besoin et non un plan destiné à accompagner de nouvelles et massives suppressions ;
  • Un nouveau plan de titularisation des contractuel.le.s, de nouvelles mesures pour combattre la précarité et non pour favoriser son extension comme le préconise le gouvernement ;
  • Des dispositions exigeantes pour faire respecter l'égalité professionnelle ;
  • L'abrogation du jour de carence ;
  • La défense et la pérennisation du système de retraite par répartition et des régimes particuliers ;
  • La défense du statut général des fonctionnaires, et des statuts particuliers, qui permet déjà de répondre aux besoins de la population sur l'ensemble du territoire et qui garantit l'égalité entre les usagers.

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/60023
Source : https://solidaires.org/22-mars-greve-et-manif…


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Ils veulent la peau des fonctionnaires et du service public !!

CNT FTTT

Les dernières annonces du gouvernement concernant la Fonction Publique, sont à inscrire dans la continuité du travail de sape mis en place pour se débarrasser des fonctionnaires et des services publics.

La destruction du statut de fonctionnaire

La volonté de supprimer 120.000 postes dans la Fonction Publique d'ici 2022 amène le gouvernement a envisager un plan de départs volontaires, qui viendra accentuer la baisse des effectifs déjà bien entamée par le non renouvellement d'un certain nombre de départs à la retraite.

Cette diminution des moyens humains aura comme conséquence de confier d'avantage de missions au secteur privé, celles-ci ne pouvant plus être assurée par des agents du service public. Mais aussi de voir exploser le recours à des contrats de droit privé (CDD ou CDI).

La multiplication des postes de contractuel-le-s va voir naître de nouvelles catégories de travailleuses-eurs précaires au sein de la Fonction Publique.

Sans oublier les accords commerciaux internationaux (TAFTA, CETA) qui tendent à « marchandiser » le Service Public avec un impact certain sur le statut des agents.

Cette politique est déjà à l'oeuvre : A France Telecom et à la Poste où il reste moins de 12 % de fonctionnaires, on les a fait partir de toutes les manières possibles puisque France Telecom avait même prévu les départs par les fenêtres ou avec une cravate de chanvre...

Les punitions tombent

En évoquant une « Modernisation de la fonction publique », on distille dans l'esprit l'idée que le service public est quelque chose de désuet. Le "fonctionnaire bashing" (profiteuses-eurs, avantages indus, ... ) très en vogue depuis des années, les coups contre les travailleuses-eurs des services publics pleuvent : gel du point d'indice, rétablissement du jour de carence, absence de «gain de pouvoir d'achat» contrairement aux salarié-e-s du privé (hausse de la CSG), rémunération aléatoire au mérite.

Des conséquences néfastes pour le service public

La conjugaison de la baisse des dotations et de la volonté affichée de confier des missions au secteur privé, implique une course au moindre coût avec des conséquences prévisibles comme :

  • des difficultés d'accès au service public,
  • la dégradation des conditions d'accueil et de sécurité
  • des risques de malversations, de pratiques illégales ou abusives
  • la porte ouverte pour le clientélisme et la corruption

Tous et toutes en grève le jeudi 22 mars 2018

Pas de resignation, luttons !!!

Nous revendiquons :

  • Une augmentation significative des salaires et une diminution du temps de travail sans flexibilité
  • La titularisation de tous les emplois précaires des services publics
  • L'arrêt des suppressions d'emploi,
  • L'abrogation du jour de carence,
  • L'arrêt des exonérations de cotisations sociales patronales et l'augmentation des budgets
  • La Fédération des Travailleuses et Travailleurs Territoriaux appelle :
  • les personnels travaillant pour une collectivité territoriale à rester attentifs et mobilisés face aux menaces qui planent
  • à la construction d'un mouvement de grève reconductible et de convergence des luttes notamment avec nos camarades cheminots.
  • à la constitution d'un véritable service public, indépendant de l'état et géré par les travailleuses-eurs


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Appel unitaire des travailleurs sociaux à la grève le 22 mars avec toute la fonction publique !


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Manifestation du Collectif des Parents des Écoles Debouts contre les fermetures de classe

Chers parents un appel à manifester à été lancé dans différents secteurs contre les différentes mesures prises par le gouvernement.

Les enseignants du 1e degré (instituteurs), du 2nd degré (collège/lycée), les cheminots, les agents des EHPAD (maisons de retraite), les agriculteurs, les surveillants de prisons...et bien d'autres encore défileront un peu partout en France et donc, à Amiens le 22 mars prochain.

Nous, les parents contre les fermetures des classes, on défilera également pour montrer que nous sommes toujours là et qu'on ne lâche rien... On a bien vu le pouvoir de notre mobilisation commune notamment lors de la Nuit des Écoles du 19 février et de l'opération escargot : de la gauche à la droite les élus ont pris position pour nous soutenir, les médias régionaux mais également nationaux étaient là... Et nous ne sommes pas les seuls, partout en France les parents se mobilisent ...

Alors: organisons-nous, c'est ensemble que nous sommes plus forts !!

Page Facebook de l'événement


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Appel de l'interfédérale éducation du 15 février 2018

FERC-CGT, FNEC-FP FO, FSU, SUD éducation, Solidaires étudiant-e-s, Unef, UNL, ASES, SLU

Les organisations soussignées constatent que les assemblées générales, les heures d'information syndicale, les blocages et les occupations se multiplient dans les universités et les lycées, appuyées sur les mobilisations de ces dernières semaines.

Le gouvernement a fait voter la loi Vidal contre le droit de chaque bachelier.e. à accéder à l'enseignement supérieur. S'appuyant sur Parcoursup, et répondant à l'injonction présidentielle, il annonce dans la précipitation un projet de réforme qui vise à transformer le baccalauréat en diplôme d'établissement et qui met en place des parcours individuels en fonction des attendus sélectifs de l'enseignement supérieur.

Aux lycéennes et lycéens, le gouvernement dit : « avec Parcoursup, on règle les problèmes d'APB, on évite le tirage au sort ! » C'est faux !
Avec Parcoursup, chaque université décide des critères à partir desquels elle retiendra (ou pas) la candidature des bachelier.e.s. L'inscription à l'université dépendrait des capacités d'accueil, sans que les moyens soient mis pour accueillir les 40.000 nouveaux bachelier.e.s chaque année. Pire, ces capacités d'accueil dépendront des « perspectives d'insertion professionnelle ». Les bacheliers perdraient le droit à accéder à la formation de leur choix, et les bacheliers pro et techno seraient en pratique exclus du supérieur. Cela porte un nom : la sélection ! La réforme du Bac en découle directement : elle supprime le cadre national du bac, désormais il ne vaudra plus que ce que vaut la réputation de chaque lycée.

Aux étudiants et étudiantes le gouvernement veut faire croire qu'ils ne sont pas concerné.e.s. C'est faux !
En mettant en place la sélection à l'entrée à l'université, la réforme Vidal fait exploser l'université telle qu'elle existe. Elle ouvre les vannes de la sélection généralisée : si la sélection se met en place à l'entrée en licence, elle sera considérablement amplifiée en Master. Déjà l'arrêté licence met en cause les compensations, les rattrapages, les redoublements. Licences, Masters... subissent le même sort que le baccalauréat. Sous couvert d'orientation, ils sont dès la rentrée prochaine remplacés par des parcours personnalisés. C'est la fin des diplômes universitaires : il n'y aurait plus que des parcours, des bilans de compétences différents d'un individu à l'autre.

Aux personnels le gouvernement annonce : 120 000 suppressions de postes dans la fonction publique, le rétablissement du jour de carence, le gel du point d'indice, la généralisation du recrutement de contractuel.le.s, donc de personnels précaires en lieu et place des agents titulaires. Les attaques du gouvernement pour en finir avec les diplômes, avec les statuts, avec des droits collectifs et protecteurs sont une seule et même attaque.

Nous réaffirmons nos exigences :

  • La nécessité de travailler tout au long du parcours au lycée à une orientation choisie, construite, accompagnée et évolutive avec les moyens humains et financiers nécessaires.
  • Le maintien du baccalauréat comme diplôme national et 1er grade universitaire, garantissant l'accès de tous les bachelier.e.s sur tout le territoire aux filières post bac et aux établissements de leur choix.
  • L'exigence d'ouverture massive de places supplémentaires en 1er cycle post bac et le refus de toute sélection à l'entrée à l'université.
  • Le refus de l'instauration de blocs de compétences en lieu et place des diplômes et des qualifications.
  • Le retrait de la loi sur le 1er cycle post bac et du plan « étudiants » qui l'accompagne, condition pour permettre une réforme ambitieuse qui garantisse le libre accès de chacun.e au supérieur.

Sur cette base, nos organisations appellent à amplifier l'information sur l'impact de ces réformes par des tractages, des heures d'information syndicale et des AG, soutien les initiatives et les mobilisations décidées par les assemblées générales.

Parcoursup, réformes du Bac, du lycée et l'apprentissage, attaques contre les statuts et les services publics : tout est lié !

Nos organisations FSU, FNEC-FP-FO, FERC-CGT, SUD éducation avec SUD étudiant.e.s, l'UNEF, l'UNL, et les associations (ASES, SLU) appellent les personnels, les étudiant.e.s, les lycéen.ne.s à se réunir en assemblées générales dans toutes les universités, tous les établissements, pour décider et préparer la grève et les manifestations le 22 mars, avec l'ensemble des fonctionnaires.

Le 22 mars, les fédérations de la fonction publique (FO, FSU, CGT, Solidaires, FAFP, CGC, CFTC) appellent à la grève.

Source : http://www.sudeducation.org/APPEL-DE-L-INTERF…


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Appel de la Coordination nationale de l'éducation

du 17 février

La Coordination Nationale de l'Éducation, réunie le 17 février 2018 à Paris, exige l'abandon de la loi O.R.E., de la plateforme Parcoursup et de la réforme du baccalauréat, qui font système pour accélérer la mise en concurrence des lycéen.ne.s, des étudiant.e.s (avec ou sans papiers) et des établissements.
Au lieu d'ouvrir des places à l'université, le gouvernement fait le choix d'une sélection encore plus opaque et injuste qu'APB et ouvre la voie vers des lycées et des universités à deux vitesses. Parcoursup et ses prérequis interdisent le droit à l'erreur dans l'orientation des étudiant.e.s et préparent l'augmentation massive des droits d'inscription.

La CNE appelle à :

  • organiser des actions ponctuelles locales le 22 février ;
  • organiser des assemblées générales ;
  • participer aux manifestations et à la grève les 15 et 22 mars ;
  • faire obstruction aux réformes par tous les moyens légaux possibles :
  • dans les lycées : ne pas remplir les notes et appréciations dans Parcoursup ou mettre « Très favorable » à tout le monde ;
  • dans les universités : ne pas trier les étudiants ; ne pas remonter les prérequis.

Protégeons l'éducation publique gratuite pour toutes et tous de la Maternelle à l'Université !

Source : http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?ar…


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22 mars : se mobiliser contre l'offensive gouvernementale

Lutte ouvrière

Le jeudi 22 mars est une nouvelle date de mobilisation pour tous ceux que menace la politique gouvernementale d'économies, notamment dans les services publics et à la SNCF. Une semaine plus tôt, le 15 mars, les travailleurs des maisons de retraite, Ehpad et services de gériatrie seront eux aussi mobilisés. Les retraités sont également, ce même jour, appelés à manifester.

Sept confédérations syndicales - CGT, FO, Solidaires, FSU, CFTC, CGC et FAFP - appellent à une journée d'action, de grève et de manifestations le 22 mars. C'est la première après celle du 10 octobre qui avait vu 400 000 personnes descendre dans les rues du pays contre les attaques de Macron : des travailleurs de la fonction publique mais aussi du privé, des lycéens, des retraités. Ils avaient amplement raison, mais cela n'avait pas suffi.

Comme si de rien n'était, arcboutés sur leur feuille de route patronale, Macron, Philippe et leurs ministres poursuivent leur train d'attaques, par vagues successives, contre les classes populaires. À présent, c'est plus spécifiquement aux travailleurs des services publics que le pouvoir s'en prend. Mais c'est aussi, au-delà, à tous les salariés, en tant que travailleurs et en tant qu'usagers.

Pour les salariés de la fonction publique, les raisons de protester sont les 120 000 emplois dont Macron confirme la suppression, les coupes budgétaires, le pouvoir d'achat en baisse, à la fois à cause du gel du point d'indice, base de leur rémunération, de la hausse de la CSG, mal compensée, et du jour de carence (retrait d'une journée de salaire en cas d'arrêt maladie).

Avec les menaces ouvertes annoncées contre les cheminots et les usagers de la SNCF, après la publication du rapport Spinetta, la CGT-Cheminots appelle à rejoindre les travailleurs de la fonction publique le 22 mars. C'est bien le moins. Les attaques contre les conditions de travail, de salaire, d'emploi et de départ à la retraite des cheminots sont en effet un aspect de la politique d'économies et d'ouverture au privé que Macron met en place. Au nom de la rentabilité, l'intention se précise de fermer des lignes moins empruntées mais pourtant indispensables. L'intention d'ouvrir des régions ferroviaires à la concurrence, avec toute la dégradation du service observée partout où cela s'est fait, s'affirme également. Le statut des cheminots, mis en exergue pour tenter de les faire passer pour des privilégiés, est aussi attaqué, comme le sont les conditions de travail et de salaire de tous.

Dans les services de l'État, les hôpitaux publics et les collectivités, dans l'éducation, chez les travailleurs sociaux, dans les maisons de retraite, les travailleurs comme les usagers sont attaqués de front par les coupes budgétaires et les suppressions d'emplois. Les travailleurs sociaux, les retraités qui perdent plusieurs dizaines d'euros sur leur pension et les salariés des Ehpad, maisons de retraite et services de gériatrie sont, eux, appelés à faire entendre leur colère le 15 mars. Cela devra être la première étape de la mobilisation qui se poursuivra le 22 mars.

Il faut non seulement maintenir et améliorer les services nécessaires à tous, grâce à l'embauche et à l'augmentation des salaires, mais mettre un coup d'arrêt aux attaques en série du gouvernement contre tous les salariés ; alors ce ne doit être que le début d'une véritable riposte.

Source : https://journal.lutte-ouvriere.org/2018/02/21…


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Pour la convergence des luttes

Fédération CGT Commerce et Services

La Fédération CGT Commerce et Services reporte son action du 7 mars 2018 au 22 mars 2018, pour gagner l'unité des travailleurs.

Depuis 2013, plus de 70 milliards d'euros d'argent public ont été offerts par l'État aux entreprises, sans contrepartie, subventionnant ainsi la destruction de milliers d'emplois ou enrichissant considérablement les propriétaires des capitaux.

Dans les secteurs d'activité du commerce et des services, c'est sans aucun scrupule que les entreprises en ont gavé les actionnaires et ont profité encore de cette manne en 2017 pour supprimer des effectifs et jeter dans la précarité des travailleurs souvent déjà payés au rabais :

  • CARREFOUR - 400 millions de CICE et 4400 suppressions d'emplois en 2017
  • CASTORAMA - 44 millions de CICE et 446 suppressions d'emplois en 2017
  • CONFORAMA - 39,3 millions de CICE, 3 PSE et 445 suppressions d'emplois depuis 2014
  • PIMKIE - 37 magasins fermés et 208 suppressions d'emplois en 2017
  • BRICO-DÉPÔT - 9 millions de CICE et 82 suppressions d'emplois en 2017
  • ACCOR - 18,6 millions de CICE et 15 millions de dividendes en plus en 2017
  • IKEA - 48,2 millions de CICE depuis 2013
  • BUFFALO GRILL - 5 millions de CICE et 14 millions de bénéfices en 2015

Nos impôts pour nos emplois, pas pour le patronat, ni l'actionnariat !

La Fédération CGT Commerce et Services appelle l'ensemble des salariés de ses secteurs d'activité à rejoindre massivement les manifestations du 22 mars 2018, pour la défense des services publics et contre la politique de destruction sociale de Macron !

Fédération CGT Commerce, Distribution & Services

Tél : 01 55 82 76 79 - fd.cexommerce.exservices@cgt.fr - http://www.commerce.cgt.fr


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Manifestation nationale des cheminots à Paris

Les conditions climatiques avaient contraint la Fédération CGT des Cheminots à reporter la manifestation nationale prévue le 8 février dernier. Conforme à ses engagements, la Fédération CGT donne à nouveau rendez-vous aux cheminots, aux associations d'usagers, aux usagers eux-mêmes le 22 mars prochain à Paris.

Les motivations qui avaient conduit à l'organisation du 8 février demeurent.

La Fédération CGT des cheminots travaille depuis plusieurs mois, en cohérence avec ses syndicats locaux à rassembler les cheminots autour des questions d'organisation de la production ferroviaire, de la réponse aux besoins des populations, du maintien et du développement du service public ferroviaire en tous points du territoire.

La direction SNCF et le gouvernement veulent en finir avec le train. Le rapport SPINETTA, paru le 15 février dernier, constitue la 4ème mauvaise solution proposée après le projet de loi NÈGRE/MAUREY, les assises des mobilités, le rapport DURON.

Le gouvernement confirme donc sa politique anti-ferroviaire. La direction SNCF, quant à elle, semble satisfaite d'un texte dont une partie significative a vraisemblablement été rédigée par elle-même.

Cette manifestation constitue donc une nouvelle étape dans une démarche plus globale qui vise à amplifier les convergences entre cheminots et usagers afin de gagner un service public SNCF de qualité.

Les recommandations de ce rapport vont à l'inverse du développement du service public ferroviaire : ouverture à la concurrence, fermeture programmée de 4000 à 9000 km de lignes d'ici 2026, filialisation du FRET SNCF, transformation des EPIC Mobilités et Réseau en sociétés anonymes, possibilité de mettre un terme aux recrutements à statut, transférabilité des cheminots, etc…

La Fédération CGT des cheminots réaffirme que l'heure n'est pas au sabordage du chemin de fer français mais bien à son maintien et à son développement face aux défis environnementaux, sociaux et d'aménagement des territoires auxquels la Nation est confrontée.

Par le passé, de nombreux rapports ont fini dans les archives des ministères. Il reste encore de la place dans les armoires.

Si d'aventure, le gouvernement décidait de reprendre ses mauvaises propositions et tentait le passage en force, la Fédération CGT, avec les cheminotes et les cheminots, mettrait tout en oeuvre afin d'envisager un autre avenir pour le service public ferroviaire que celui tracé par la direction de la SNCF et le gouvernement.

C'est à ce titre et conformément à ce qu'elle avait annoncé le 8 février dernier, que la Fédération CGT appelle les cheminotes et les cheminots ainsi que toutes celles et tous ceux qui veulent en finir avec la casse de l'entreprise publique SNCF, à s'inscrire massivement dans la manifestation nationale des cheminots le 22 mars 2018 à Paris.

« La SNCF, certains veulent la descendre, NOUS, on la défend »

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/60172
Source : http://cgtparis.fr/spip.php?article3295


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Manifestation le 22 mars à Paris

SUD Rail

SUD-Rail appelle les cheminots et les associations d'usagers à manifester ensemble le 22 Mars à Paris

Après avoir pris connaissance des 43 recommandations du rapport Spinetta concernant « l'avenir du ferroviaire » et alors que la rencontre avec la ministre des transports n'a pas permis de lever les craintes concernant le désengagement de l'Etat du service public ferroviaire ; la Fédération SUD-Rail appelle les cheminot(e)s et les associations d'usagers à venir manifester, ensemble, à Paris le 22 Mars pour faire entendre la nécessité de maintenir un service public ferroviaire de haut niveau.

La Fédération SUD-Rail s'indigne que les recommandations faites par M.Spinetta ne traitent pas des questions de développement durable, d'aménagement du territoire et d'un service public de continuité territoriale rendu à l'ensemble de la population mais se cristallisent sur une privatisation de l'entreprise publique SNCF et un désengagement de la puissance publique sur ces questions.

Fermeture de lignes, augmentation des tarifs, réduction des dessertes… Les usagers des transports ferroviaires seront, avec les cheminots, les grands perdants d'une éventuelle transcription dans une loi à venir de ces recommandations mortifères.

La Fédération SUD-Rail conteste la fausse bonne idée selon laquelle l'ouverture à la concurrence, la fermeture de 9000 KM de lignes, de dizaines de gares et la fin du statut des cheminots régleraient tous les problèmes. La Fédération SUD-Rail est porteuse d'autres solutions pour garantir l'avenir d'un système ferroviaire public !

Faute d'être entendue sur nos revendications et si le gouvernement décide malgré tout de casser le service public ferroviaire, la manifestation du 22 mars ne sera qu'une étape vers une mobilisation plus forte pour l'avenir du système ferroviaire et du statut des personnels !

Source : http://www.sudrailpse.org/site/sud-rail-appel…